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Les photos du site vont de 1500x1004 à 1600x1071. Et jusqu'à 3000x2000 en plein format. Un 24 pouces au minimum est requis pour visualiser. Sur les photos de cette page le soleil tape fort et le problème majeur ce sont les hautes lumières, elles apparaissent un peu partout. J'ai pourtant sous-exposé dans la plupart des cas. On ne s'oppose pas au soleil. Tant qu'elles n'inondent pas la photo, les hautes lumières sont acceptables pour des photos d'été.

On peut les atténuer en diminuant l'ouverture, c'est à dire en réduisant la quantité de lumière sur le capteur, mais il faudra aussi augmenter la sensibilité "iso", c'est à dire rendre le capteur plus sensible à la lumière, ce qui est normal puisqu'il sera moins illuminé. Tout ceci après avoir diminué cette fameuse exposition en regardant l'indicateur analogique du même nom, c'est tout simplement cette échelle horizontale qui va de plus à moins en passant par zéro. En utilisant différentes vitesses d'obturation et toujours en surveillant l'indicateur, on obtient ce qu'on désirait, quand on est en station et en mode manuel. Plus loin j'explique de façon plus nette la procédure à suivre.

La photo ci-contre aurait peut-être nécessité un cadrage plus haut c'est à dire avec plus de ciel, mais dans ce cas j'enlevais toute profondeur à la photo puisque l'arrière-plan est en pente. L'herbe au premier plan augmente cette profondeur de champ, malheureusement j'ai l'impression que l'arrière-plan est très légèrement flou. Avec cette photo on voit les limites du mode auto.

Le vert domine dans les photos d'été, on n'a pas la richesse de couleurs des paysages d'automne. La lumière vive du soleil est plus un inconvénient qu'un avantage. Cette lumière crâme les détails des feuillages qui sont d'un vert brillant et qui, pour cette raison, renvoient la lumière solaire comme un miroir.

Il faut un pied pour faire des photos. Je m'en suis procuré un dans l'hypermarché du coin à 75 euro et j'avoue que c'est génial, léger, rapide et j'en passe. En effet, les pieds creux en alu se déplient rapidement grâce à des clips. L'appareil se fixe instantanément, sur le haut, à l'aide d'un levier. Auparavent on n'aura vissé sous l'appareil, dans le pas de vis prévu à cette effet, une petite pièce en forme de queue d'aronde qui viendra se loger facilement à l'endroit prévu. Et, cerise sur le gateau, le tube central creux possède une crémaillère pour amener le boitier devant les yeux si on le désire. Evidemment tout est orientable grâce à quatre axes. Le tout pesant moins d'un kilo, génial! non!.

Dans les pages suivantes, il ne sera fait référence qu'au mode MANUEL (M dans le bouton PSAM). C'est le mode qui permet de progresser et d'assimiler tous les paramètres d'une prise de vue. En outre, utiliser un pied parait essentiel dans ce mode, en effet la fixité de l'appareil facilite la pratique en supprimant les inconvénients dûs au bouger et en permettant un cadrage soigné, ce qui est très important. L'immobilité facilite la lecture de certains paramètres par l'appareil, notamment l'exposition et la mise au point automatique que l'on appelle autofocus.

Dans la page Printemps 2010, il est fait briévement allusion au Mode A (A dans le bouton PSAM). Ce mode, disons intermédiaire, entre le mode M et le mode AUTO, peut être utilisé sans pied. Vu sa simplicité, on peut l'utiliser à la place du mode AUTO. Surtout pour ceux qui déteste le paramètrage à tout-va.

Voir ma page automne 2009.

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